par Romain Testoris et Guy Giani L’idée d’appropriation enferme une redoutable ambiguïté : « approprier », ce peut être rendre quelque chose propre à un usage, comme on approprie un champ à une culture ; ce peut être aussi faire sien un bien, en faire sa propriété, se l’attribuer, s’en emparer. En quel (…)
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