Face au massacre opéré par Daesh, c’est d’abord la sidération qui l’emporte. Les mots, quel que soit le sentiment qu’ils expriment - condamnation, écœurement, solidarité, recueillement –, semblent toujours en deçà de l’événement lui-même. Le premier réflexe est celui de serrer les rangs. Face à une (…)
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