L’horreur des massacres nourrit l’univers de la guerre. Or, couplée à la peur, l’obsession de la guerre mine un peu plus la démocratie. Ne rien faire face à la barbarie est impensable. Glisser vers l’état de guerre et le choc des civilisations est une folie. Que faire, donc ? Le phénomène Daesh ne (…)
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