Nul plus que Jean-Christophe Cambadélis ne méritait en ces temps difficiles de diriger le Parti socialiste. Au service de François Hollande, le président qui voudrait le rester, le voici manœuvrant admirablement le lourd esquif menacé de naufrage. Lorsqu’a été lancée l'idée d'une primaire des (…)
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