• Municipales : appel aux Sottevillais
• Ensemble, changeaons d’Albi
• Municipales à Besançon
• A Nice « L’Humain d’abord » en campagne
• Municipales à Grenoble
• Agglomération lyonnaise : tour des listes Front de Gauche… ou pas
Il y a de quoi être écoeuré : le chômage explose, le pouvoir d’achat s’effondre, et François Hollande continue d’offrir sans contrepartie des milliards au grand patronat, cadeaux financés par l’augmentation de la TVA et la baisse des dotations aux communes. Le MEDEF et la droite en redemandent (fin de 35 heures et retraite à 65 ans), et l’extrême droite se déchaîne dans la rue.
Alors que la situation se dégrade dans tout le pays, et que les Sottevillais en souffrent, Pierre Bourguignon et Luce Pane nous offrent un spectacle lamentable. Après avoir géré la ville ensemble pendant presque 24 ans, ils n’en finissent plus de se déchirer sur des questions de pouvoir, loin de nos problèmes quotidiens.
Les deux pourtant ont les mêmes idées et les mêmes méthodes.
Malgré cela, les Verts se vendent à une candidate qui n’a rien d’écolo, et le PCF persiste à s’allier à un maire toujours plus autoritaire.
En face, la droite et l’extrême droite s’unissent pour répandre le "chacun pour soi" et la haine des autres.
Les luttes de pouvoir ne nous intéressent pas. 24 ans, ça suffit : il faut tourner la page Pane-Bourguignon !
Pierre Bourguignon veut continuer comme avant. Allez-vous le laisser faire ?
Luce Pane, sa complice depuis 1989, vient de "découvrir" que la ville était mal administrée. Allez-vous lui faire confiance ?
On prend les mêmes et on recommence ? Malgré leur bilan commun ?
Pour battre la droite et l’extrême droite, est-on condamné à voter pour une gauche qui nous trahit ?
La liste "Sotteville À Gauche Vraiment" vous propose un autre choix, un autre projet.
Il faut réagir, proposer et rassembler pour la solidarité et l’écologie, le partage des richesses et la démocratie.
Il est temps que ça change à Sotteville, et c’est ce que nous vous proposons.
Nous sommes une gauche sans compromission, qui reste ferme sur ses valeurs de solidarité, d’écologie, de partage des richesses et de démocratie.
Nous voulons rassembler autour de propositions claires et utiles à tous :
A tous ceux qui n’en peuvent plus de la politique de Hollande et des querelles de pouvoir Pane-Bourguignon. A tous ceux qui refusent la droite et l’extrême droite, nous disons :
Avec "Sotteville À Gauche Vraiment", vous pourrez faire un choix clair pour des élus utiles.
Liste citoyenne soutenue par Les Alternatifs, "Ensemble", le NPA et le Parti de Gauche.
Composé de citoyen-ne-s de gauche, le Comité Local d’Initiative citoyenne (CLIC), après plus d’un an de concertation, a présenté un projet : « Penser la ville pour la transformer » (lien http://changerdalbi.overblog.com/), projet qu’ils/elles souhaitent voir appliquer par une nouvelle majorité municipale de gauche. Lors de sa réunion du 2 décembre 2013, ce comité a décidé de proposer aux Albigeois une liste porteuse de son projet « Penser la ville pour la transformer ». Elle respectera la diversité de la gauche en permettant à chaque sensibilité politique une égalité d’expression sans hégémonie.
Un groupe de personnes représentatif et mandaté par le CLIC, est chargé d’animer la campagne des municipales .
D’ores et déjà, les formations politiques – PCF, Alternatifs, FASE – soutiennent cette démarche du CLIC. Fin janvier, à l’occasion de l’inauguration du local de campagne, Liberto Gimenez (Les Alternatifs d’Albi) présente le sens de cette démarche.
Extraits : « Notre démarche au sein du comité local d’initiative citoyenne, le CLIC, est de partager nos idées sur la mise en place d’une véritable démocratie, une démocratie directe et active, basée sur la solidarité et la fraternité avec la volonté de ne laisser personne sans parole, sa parole.
C’est ce qui prédomine également dans la constitution de la liste citoyenne ENSEMBLE, CHANGEONS D’ALBI que nous proposons aux Albigeoises et Albigeois et dans notre volonté d’être présents au premier tour des élections municipales du 23 mars prochain.
Nous […] serons en tête des listes refusant le bilan de la municipalité actuelle ainsi que les orientations ultra libérales affirmées aujourd’hui par le gouvernement social démocrate en charge des affaires du pays, en charge des affaires des riches du pays.
Notre volonté est également d’éloigner le risque des votes de colère et de déraison représentés par le front national.
Notre projet est avant tout un projet politique d’expression de la démocratie. Le pouvoir doit être pris par les citoyennes et les citoyens.
C’est vous, c’est nous ensemble qui devons décider de la manière de changer notre ville, nos conditions de vivre ensemble. Nous ne proposons pas un catalogue d’actions et de réalisations déjà ficelées, promesses jamais tenues.
Nous proposons de travailler, de partager dans des conseils de quartier avec une parole libre afin de définir les projets à mettre en œuvre et en donnant le temps nécessaire aux débats, à la démocratie dans l’expression de la solidarité, du partage et du bien vivre ensemble.
Les tenants du système actuel ne cherchent qu’à nous éloigner de la prise de décision. Ils veulent des grandes régions, réduire les départements, minimiser le plus possible les prérogatives des communes et se prémunir ainsi de nos droits en garantissant leurs situations de soi disant experts et d’élite politique et financière. _ Nous, nous voulons que la décision se prenne là où nous vivons avec ceux qui vivent avec nous et partager avec tous dans cet esprit de solidarité et de fraternité qui fait tant défaut aujourd’hui. Voilà notre projet, faisons ensemble qu’il devienne notre projet à tous. »
Liberto GIMENEZ
Les Alternatifs 81 ALBI
La constitution d’une liste d’union large à gauche du PS à Besançon n’a pas été possible du fait de la double intransigeance du PCF et du PG : le premier souhaitant avoir l’assurance de garder ses élus (il en aura finalement deux de plus), le second se montrant d’un sectarisme digne des jeunes années à l’AJS-OCI (1) de certainEs de ses militantEs. Il faut noter cependant que les adhérents bisontins du PCF se sont prononcés à 94 % pour une liste autonome du FdG, sous conditions pour le second tour, conditions refusées par le PG. Les responsabilités de cet échec me semblent donc équitablement partagées : si le PCF avait très envie de rejoindre la liste PS, le PG a tout fait pour qu’il s’y précipite ! EELV s’est rallié également à la liste PS, le manque d’ouverture du PG n’est pas étranger à cette décision.
Suite à la décision du PCF, les autres organisations du FdG (Alternatifs, GA et PG) ont décidé de faire une liste citoyenne ouverte : « A gauche toutEs, place au peuple ». La première difficulté fut la désignation de la tête de liste : le PG l’a revendiquée, Marie-Odile Crabbé-Diawara a présenté sa candidature avec l’appui d’une partie de la GA et de plusieurs camarades non encartés. Le candidat du PG -qui avait mobilisé la totalité de ses troupes- a été largement élu par l’AG. Le PG a fait voter pour la seconde de liste dans la foulée : ce fut une jeune militante ambitieuse de la GA (2), qui s’est présentée sans l’aval de son organisation !Elle fut élue de justesse, Marie-Odile n’ayant pas voulu se présenter dans ces conditions. Le PG accepta que Marie-Odile figure en quatrième position, mais aucune autre personne proche de notre sensibilité politique n’a été admise dans les 10 premières places : le PG ayant la majorité absolue dans les AG comme dans les commissions de travail, il décide de tout ! Si néanmoins nous continuons, c’est pour tenter de faire passer quelques idées et pour maintenir le lien avec des camarades de la GA et des non encartés avec lesquels nous travaillons à la création de « Ensemble-MAGES ».
L’ambiance dans les réunions est généralement tendue. Le PG se conduit de manière particulièrement autoritaire : occupation de tous les postes de responsabilité dans l’organisation de la campagne, imposition du logo FdG et de la photo de Mélenchon, organisation de deux meetings de campagne avec deux orateurs PG (G. Amard et J.L. Mélenchon), absence d’écoute de l’autre, en particulier des personnes de notre sensibilité dont les propositions sont considérées comme de l’obstruction ou du chantage, volonté de faire passer exclusivement le visuel et les idées PG compatibles, violation de décisions prises en AG, modification de tracts après les réunions (c’est ainsi que toute référence au nucléaire a été supprimée du premier tract de masse distribué à 25 000 exemplaires, tract que les Alternatifs refusent de distribuer pour des raisons de fond et de forme). Quant à la question financière, nous attendons toujours l’esquisse d’un projet de budget !
Nous constatons que le fonctionnement autoritaire, verticaliste et sectaire du PG est totalement à l’opposé du nôtre, nous le savions déjà, mais nous ne l’imaginions pas aussi exacerbé ! Notre participation à cette liste demeure subordonnée à la résolution positive de plusieurs questions pendantes, lignes rouges définies collectivement Nous n’excluons pas, dans les semaines qui viennent, de nous en retirer, avec certains de nos partenaires.
Jacques Fontaine
1 AJS-OCI : Alliance des Jeunes pour le Socialisme-Organisation communiste internationaliste, groupe trotskyste « lambertiste » dissident de la IVe Internationale
2 La GA était divisée sur l’opportunité de la candidature de cette militante, la moitié la soutenant, l’autre non ; elle a habilement profité de cette situation pour jouer sa carte personnelle.
Lancée dès le mois de novembre par des Assises citoyennes aux échanges intéressants et à la participation prometteuse (plus d’une centaine de participant-e-s), la campagne électorale du Front de Gauche avec toutes ses composantes est d’abord une campagne de terrain qui a commencé dès le mois de décembre par des réunions de quartier dans les deux quartiers populaires emblématiques de la ville (L’Ariane, Les Moulins) et à Nice-Nord, où existe une assemblée citoyenne du Front de Gauche très présente.
Ce choix n’a rien du hasard. Il procède d’une démarche donnant la priorité à ces quartiers délaissés et périphériques, et à une question symbolique dans les quartiers Nord : celle du devenir du Ray, où l’emplacement de l’ancien stade de l’OGC Nice suscite la convoitise immobilière.
Eco-immobilière, pourrait-on ajouter, tant la qualification d’éco-quoi que ce soit est devenue une marque de fabrique d’un maire UMP, Estrosi, dont on connaît bien les penchants xénophobes et racistes -voir récemment ses propos sur les Roms- mais dont on sait moins les grotesques prétentions écologistes dans l’habillage du bétonnage (l’OIN appelée Eco-vallée) d’une part, et d’autre part l’autoritarisme combiné à la mégalomanie. Deux traits, de même que les penchants racistes, qui rappellent en moins flamboyant l’ancien maire de Nice : Jacques Médecin, dont Estrosi a été l’une des créatures.
Dans ces trois premières réunions, les Alternatifs étaient présents, y compris avec nos camarades qui vivent dans ces quartiers, de même que l’ensemble des composantes locales (PCF, Ensemble, PG) de la liste du Front de Gauche, mais aussi une partie des colistiers et des colistières non-membres du PCF, du PG ou des composantes organisées d’Ensemble (Alternatifs, FASE, GA, GU).
A noter que ces colistiers et colistières composeront plus du tiers de la liste : c’est la troisième originalité de la liste « L’Humain d’abord », après la première que constitue cette liste en elle-même dans l’histoire de la ville (le PCF avait toujours jusque-là choisi l’alliance avec le PS au premier tour) et la seconde qu’a été le choix participatif de son intitulé (« L’Humain d’abord ») par les participant-e-s aux Assises citoyennes de novembre 2013.
Cette campagne électorale a été dopée par la réussite du meeting du Front de Gauche, le 24 janvier, dans lequel sont intervenus, dans la salle comble et enthousiaste du théâtre de l’Ariane, Arthur Leduc -dont le choix de numéro 3 de la liste relève d’une volonté des Alternatifs de renouveler et rajeunir notre représentation- et Alima Boumedienne-Théry pour Ensemble, Roseline Grac et JL Mélenchon pour le PG et Bob Injey pour le PCF, à la fois comme tête de liste et responsable national du PCF.
La semaine suivante, une nouvelle réunion publique a permis la présentation du programme municipal, résultat d’une écriture collective de plusieurs semaines. Ce programme prend la parti de l’internationalisme et de l’altermondialisme de manière originale, et fait une place importante à l’écologie et aux droits des femmes aux côtés des thèmes plus classiques tels que le logement, la démocratie ou les questions sociales et éducatives.
Les semaines qui viennent seront l’occasion de nouvelles réunions de quartier et d’initiatives thématiques, notamment sur le thème du droit à la tranquillité. Combinées au travail de terrain en continu, elles devraient aussi permettre une bonne couverture médiatique locale, comme c’est déjà le cas.
Alors que la liste NICEA (dont 4 ex-membres figurent dans les 15 premiers noms de la liste), soutenue par les Alternatifs et la LCR, avait obtenu un résultat modeste (2%) en 2008 et qu’aux législatives de 2012, les résultats cumulés des candidatures du Front de Gauche et de la Gauche alternative oscillaient selon les trois circonscriptions locales entre 4,5% et 6%, les premiers sondages ont accordé d’abord 6% puis plus récemment 7% à la liste « L’Humain d’abord ». C’est un encouragement pour la suite, avec en ligne de mire le résultat de Mélenchon à Nice aux présidentielles de 2012 (9%). Et vu la qualité, l’ouverture citoyenne et le caractère réellement unitaire de cette campagne, on ne voit pas pourquoi l’objectif d’ancrer une gauche authentique et rassemblée dans cette ville -si difficile pour la gauche- ne serait pas atteint, au-delà du résultat de cette élection.
Bruno Della Sudda
François Hollande a été élu en mai 2012 avec le slogan : « le changement c’est maintenant ». Force est de constater que rien n’a bougé, en particulier pour les collectivités locales. Le choix de l’austérité est maintenu et même aggravé, il assèche les ressources des communes et des intercommunalités. L’État transfère de plus en plus de charges sur les collectivités qui font face à un chômage de masse et à la précarité de leurs habitants.
À Grenoble, le choix de la majorité sortante PS depuis 3 mandats s’est souvent tourné vers les politiques de prestige (grand stade, projet de rocade Nord,…) et des projets de densification trop forte laissant la part belle aux promoteurs.
Ces grands projets avec la participation financière du privé sont depuis longtemps combattus par le groupe des élus ADES (association locale), EELV et Alternatifs dans l’opposition depuis 2008.
Les Alternatifs ont toujours eu au moins un élu dans la majorité de 1995 à 2008, puis dans l’opposition de 2008 à 2014 avec Gilles Kuntz, qui a aussi représenté le groupe des élus à l’agglomération.
Le bilan concret est important : participation à la réhabilitation du quartier Teisseire, création du CREG(1) en 1999, campagnes pour le droit de vote des étrangers… Nous avons aussi participé aux mobilisations contre le grand stade, la rocade nord, les grands projets immobiliers. Nous avons été très présents dans la lutte contre le racisme et le soutien aux étrangers sans droits.
Depuis des mois, les Alternatifs participent à un large rassemblement ouvert à tous les habitants qui se reconnaissent dans les valeurs de gauche, de l’écologie et de la citoyenneté. Ce rassemblement est composé du Réseau Citoyen, de l’ADES, de EELV, des Alternatifs, du Parti de Gauche et de la GA. Les chances de passer au premier tour devant la liste sortante conduite par le PS avec le PCF sont réelles.
Grenoble a besoin d’une nouvelle majorité innovante.
Grenoble doit rompre avec les pratiques politiques actuelles éloignées de la vie quotidienne des habitants et cette ville doit s’émanciper des nombreux lobbies privés dans ses politiques publiques. Ce rassemblement combat les mauvaises solutions de la droite disqualifiée par le retour d’A. Carignon, l’ancien maire corrompu à nouveau candidat sur la liste UMP-UDI.
Cette campagne « Grenoble une ville pour tous » revendique une ville au service des habitants-es qui assure l’égalité des droits et qui refuse les politiques d’austérité.
Ce rassemblement se veut une démocratie active pour co-construire les projets avec les habitants-tes, développer les budgets participatifs, créer des comités d’usagers dans les services publics, mettre en avant l’éducation populaire. Nous voulons limiter le cumul des mandats, baisser les indemnités des élus, démocratiser le fonctionnement de l’intercommunalité, surtout avec la métropole imposée en 2015.
Ce rassemblement propose de créer un bouclier social et écologique en développant l’économie sociale et solidaire, en favorisant la création d’emplois utiles et non délocalisables, en réimplantant des commerces de proximité.
Il veut redonner du pouvoir d’achat en pratiquant des tarifications solidaires allant jusqu’à la gratuité. Nous proposons de libérer les services publics locaux des ingérences et des intérêts privés. Le retour de l’eau au sein du service public obtenu à Grenoble est à ce titre exemplaire.
Nous sommes pour une ville à taille humaine, avec la remise à plat de tous les grands projets d’urbanisme de prestige. Nous sommes pour la création de logements sociaux, pour le développement de transports en commun gratuits, pour favoriser les alternatives à la voiture avec la création d’un service public du vélo.
Les Alternatifs se retrouvent dans les valeurs et la dynamique du rassemblement. Nous défendons au son sein la lutte pour l’égalité des droits avec plus de justice sociale dans les quartiers populaires.
Les Alternatifs jouent un rôle important dans ce rassemblement, c’est une chance historique de construire véritablement une ville pour toutes et tous.
Bernard Macret, candidat en 5e place sur la liste « Grenoble, une ville pour tous ».
1. Conseil des Résidents Etrangers de Grenoble
Maintenant que les « périmètres » des listes municipales sont bouclés, on peut faire un rapide bilan de la présence ou non du Front de Gauche à ces élections.
Si on ne prend que les 15 plus grosses communes de l’agglomération, qui totalisent 1 040 000 hab (soit près de 75 % de la population du Grand Lyon), le Front de Gauche en tant que tel, avec toutes ses composantes, sera présent dans 6 communes dont Lyon (représentant 44% de la population). Si on ajoute le cas particulier de Villeurbanne (accord EELV- composantes du Front de Gauche hors PC), et les villes où des listes à direction PCF sont présentes, ce sont 9 communes représentant 60% de la population du Grand Lyon où il sera possible d’exprimer un vote d’alternative à gauche …
LES CONFIGURATIONS DANS LES 15 PLUS GRANDES VILLES DU GRAND LYON
VILLE | Population | Liste FDG et partenaires | Autre configuration | Présence d’Ensemble ! sur la liste |
---|---|---|---|---|
LYON | 480000 | OUI : Liste « Lyon Citoyenne et Solidaire « (FDG + dissidents ex-PS du GRAM) | OUI dont tête de liste sur 9° ardt | |
VILLEURBANNE | 145000 | Non : PCF avec liste PS ; PG et Ensemble avec EELV | Liste « Le Rassemblement Citoyen » : EELV + PG, Ensemble, collectif local COVRA | OUI |
VENISSIEUX | 59000 | Soutien : liste PCF « orthodoxe » avec participation PG, MRC … | NON | |
VAULX-EN-VELIN | 43000 | OUI : Liste « La Gauche Citoyenne » (PC, PG, Ensemble, partenaires locaux, EELV) | OUI dont 4 en position éligible | |
ST PRIEST | 43000 | Non ; PCF avec PS | Non | |
CALUIRE | 41000 | OUI : liste « Démocratie et citoyenneté à Caluire » (FDG élargi) | OUI | |
BRON | 39000 | Non ; PCF avec PS | Non | |
RILLIEUX | 30000 | Non ; PCF avec PS | Non | |
MEYZIEU | 30000 | Non ; PCF avec PS | Non | |
OULLINS | 25000 | OUI : liste « La Gauche Oullinoise » (FDG + dissidents ex-PS du GRAM) | OUI | |
DECINES | 25000 | OUI : liste « Rassembler pour Décines » (FDG + dissidents PS) | Non | |
STE FOY LES LYON | 22000 | NON | Non | |
ST GENIS LAVAL | 20000 | NON | Non | |
GIVORS | 19500 | Liste d’union de la gauche à direction PCF | Non | |
ECULLY | 18000 | OUI | OUI |