25 juin 2012, par webmestre
Paradoxes électoraux : en Grèce, ce n’est pas Syrisa, battue de peu, qui est aux commandes mais les deux partis qui ont conduit, avec l’aide de l’Europe, le pays dans la situation catastrophique où il est ; en France, c’est à un PS, doté de tous les pouvoirs politiques de régler une note dont il n’est pas directement responsable, mais une note heureusement moins lourde que celle des Grecs.
Mais dans quelle crise est-on ? La crise européenne, financière, politique et institutionnelle, s’inscrit, en (...)